• Texte écrit en 2011

     

    De toute façon c'est surement la fin d'un monde qui n'entend plus rien. Allez y hurler, taper du pieds, plus personne ne s'en rends compte. Allez mes amis, riez, riez à gorge déployez. Je vous le dit plus rien d'autre ne compte. Je déchire tous ce que j'ai, ma mémoire se chargera de tout recoller. C'est vrai j'ai menti, mais c'est vrai je t'aime. Mes plaies semblent me dire qu'elles t'aiment. Le cœur qui s'est réfugié dans ma poitrine pourrait bien choisir un autre lieu d'exil tant cet appartement est sombre. J'ai mendié mon amour à la mort. Me voilà née. Éclosion de couleur et de peur. Comment faire la différence entre le sud et le nord ? Allons mes amis, la vie c'est tout droit... Maintenant comptez vos morts...


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires