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Par Myrae le 14 Décembre 2017 à 18:48
Cet article a été écrit en réponse à la vidéo de Lemon June que je vous mets juste en dessous. Le principe est le suivant : parler des livres qui nous ont marqué durant notre développement personnel. Ne voulant pas répondre rapidement en commentaire, je me suis laissée un peu de temps et je vais vous en parler maintenant.
Enfance :
J'ai eu la chance d'avoir des parents qui m'ont très vite initié à la lecture. Ils ont toujours aimé ça, et m'ont très vite appris à lire. Le premier livre dont je me souvienne, est celui que j'ai "étudié" à l'école : La Chasse à l'Ours.
Il faut savoir que j'avais un directeur d'école extrêmement motivé qui a fait en sorte que tous les élèves de primaire de mon école lisent ce livre et ensuite l'enregistre tous ensemble, chacun lisant à haute voix une petite partie. Nous avions également créé une bande sonore et des musiques dessus.
Quand j'y repense, je trouve ça formidable et assez exceptionnel. Je suis sûre que cela a participé à mon amour du livre. Et j'ai gardé un lien affectif très fort avec cet album comme avec d'autres que nous avions pu lire ensemble.
Cependant, l'un des premiers livres que j'ai lu seule ce devait être Le Lion de Joseph Kessel. Mon papa voulait absolument que je lise ce livre et j'avais également très envie de le lire.
Mais soyons clair, j'avais moins de 10 ans et j'ai eu toutes les difficultés du monde à m'y mettre et à le finir. Du coup, c'est mon papa qui me lisait quelques pages avant de m'endormir le soir. Enfin... Avant que lui ne s'endorme ! Il faut savoir que mon papa a une très jolie voix et j'adorais quand il me lisait un livre. Mais, c'est aussi une personne qui travaille beaucoup et qui du coup avait un peu tendance à s'endormir très vite lorsqu'il lisait même pour ces enfants.
J'ai finalement fini le livre, mais ce fût vraiment l'un des premiers romans que j'ai lu (presque) seule puisqu'une fois le papa endormit, je récupérais le livre pour continuer toute seule avant de dormir à mon tour.
Collège :
Je ne peux pas vous parler de mon adolescence sans vous parler d'Harry Potter. C'est assez cliché pour ma génération, mais c'est la vérité. J'ai grandi avec ce petit sorcier. Il m'a accompagné et a accompagné au final toute ma famille. Nous étions trois à suivre ce gamin qui découvrait la vie : mon petit frère, d'un an mon cadet, ma mère et moi. Trois personnes qui ont commencé par lire ces livres en histoire du soir. Parce que oui, ce livre est sorti quand j'étais petite et j'ai dû faire la rencontre en 2000 à peu près. Pas encore une adolescente, pas encore au collège, mais cette saga a vraiment traversé mon collège puisque c'est avec ce sorcier que j'ai grandi.
Il faut savoir que malgré notre âge, nous avons lu ensemble cette saga jusqu'au tome 6. A chaque nouvelle sortie, durant le mois qui suivait, nous nous réunissions tous les soirs, mon frère et moi pour écouter ma maman nous narrer les aventures d'Harry, Ron et Hermione. Nous étions collés contre elle, parfois sous un plaid avec nos chats et elle nous lisait l'histoire du soir.
/!\ Spoiler ! Ne surligne pas le texte si tu ne les as pas lu /!\
Inutile de vous dire que la mort de Sirius Black (en premier) a créé un séisme dans la famille. Nous pleurions tous les trois comme des mômes. Je vous laisse imaginer l’hécatombe que ce fût lors du tome 6...
Et puis, le tome 7 est sorti et là, nous étions vraiment grands (en 2007 !) donc pas de lecture commune mais individuelle avec interdiction d'en parler tant que tout le monde ne l'avait pas fini ! Il y avait trois marques pages dans le livre. Chacun devait faire attention à ne pas perdre la page de l'autre. Et les disputes étaient fréquentes pour savoir qui avait le droit de l'emmener dans son lit.
Deuxième livre marquant mon collège : Le Chateau de Hurle de Diana Wynne Jones. Ce livre, encore aujourd'hui, est mon livre préféré de tous les temps.
Non seulement, il est drôle, mais il est sensible et l'héroïne a un côté indépendant qui me plaisait énormément. De plus, Hayao Miyazaki a sorti un film adapté de cet ouvrage dont la bande annonce m'avait enchanté mais je n'ai jamais pu voir ce film au cinéma. J'ai donc passé des mois, le temps qu'il sorte en DVD, à fantasmer sur ce film. J'ai imprimé le synopsis du film, les fiches des personnages (à grand renfort d'effets Word Art d'un bon goût digne des années 90). Bref, j'ai créé un imaginaire personnel autour de ce film et de ce livre et quand j'ai confronté les deux, je n'ai jamais été déçue.
Lycée :
Concernant le lycée, j'ai moins de romans en tête car j'ai surtout fait la rencontre de la poésie. Je suis tombée en amour de deux auteurs : Baudelaire et Victor Hugo. Qu'il s'agisse de La Charogne ou La Chevelure écrit par le premier ou bien de La Conscience écrit par le second, ces textes et auteurs ont laissé une trace indélébile dans ma vie.
Victor Hugo m'a appris la réflexion, comment la développer et comment analyser et apprivoiser mes sentiments. Baudelaire m'a permis d'accepter mes émotions aussi violentes qu'elles soient. Je suis une personne passionnée et le lycée fût pour moi la découverte des premiers amours. Mais également d'une sexualité différente de celle de mes amis. Avec Baudelaire, j'ai accepté le fait que voir une femme pouvait provoquer un désir chez moi et que ce n'était pas mal.
Ces deux poètes m'ont énormément apporté et ont vraiment marqué mon quotidien durant le lycée.
Un autre livre qui m'a marqué fût Germinal d'Emile Zola. J'ai mis beaucoup de temps à le lire car il s'agit d'un solide ouvrage que je lisais en Terminale alors que le français avait déjà déserté mes cours (bac S oblige...). Ce livre, mes parents l'ont bien vu, m'a fait littéralement descendre dans la mine. Je l'ai promené partout avec moi, si bien que physiquement il a été très marqué. Mais je l'ai adoré.
Oui, parfois les descriptions peuvent avoir un petit côté long pour certains, mais cette lecture fût une expérience inoubliable. Je me rappelle encore m'être cachée dans mon écharpe lorsqu'une larme est apparue dans le bus alors que je rentrais chez moi en lisant. Ce livre fût également une claque politique. Il m'a profondément marqué et a largement alimenté le sentiment de révolte qui parfois m'habite encore et me pousse à continuer ma réflexion. C'est Zola qui m'a offert une conscience politique à un moment où je ne pouvais pas encore voter.
Faculté :
J'ai beaucoup lu durant mes années universitaires, mais j'ai surtout découvert un genre : les écrits érotiques. Qu'il s'agisse de poésie ou bien de romans (moderne ou non), je ne remercierais jamais assez Clémence pour les discussions que j'ai pu avoir avec elle. Toutes les deux posées autour d'un thé, grattouillant un chat, nous avons échangé à bâtons rompus sur l'érotisme, nos visions et l'influence de ces livres.
Mais il y a eu également ma rencontre avec Shakespeare et deux de ces oeuvres : Titus Andronicus et Le Songe d'une Nuit d'été que j'ai dû étudier en long, en large et en travers. Une mise en scène à inventer, un esthétique à développer... Ces ouvrages et le travail demandé autour nourrissent encore la définition du théâtre pour moi.
Aujourd'hui, j'étudie toujours mais dans une école et depuis très peu de temps. Je sais que les ouvrages continueront de marquer mon existence et j'attends avec impatience la prochaine belle rencontre.
J'envisage d'écrire ce type d'article avec un autre support : les films, la musique et les pièces de théâtre. Qu'en pensez-vous ?
Et vous ? Avez-vous déjà eu ce genre de rencontre ?
Un grand merci à Lemon June pour l'idée originale,
et pour tout ce qu'elle fait sur YouTube. ♥
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Par Myrae le 29 Janvier 2015 à 19:19
Beast Master de Kyousuke Motomi
Manga
Nous suivons Yuiko, une lycéennes qui s'intéressent très peu aux hommes et préfèrent les animaux. Cependant, malgré tous ses efforts, ces derniers ont bien du mal a la laisser approcher. Un nouvel évènement va pourtant chambouler sa vie, Léo, le nouvel élève lui ayant rendu service, elle se sent redevable est va donc essayer de le rencontrer.
Vous avez compris, on est dans un shôjo tout ce qu'il y a de plus basique. Mais pas n'importe quel shôjo : un shôjo en deux tomes ! Et ouais ma gueule ! Ça va pas trainer en longueur pour une fois. Donc enfin un manga abordable pour les petites bourses puisqu'on ne fait pas un investissement sur trois ans minimum à raison d'un à deux mangas par mois.
Ce manga est idéal lorsque vous avez besoin d'arrêter de penser ou bien de rêver ou encore de croire un peu à l'amour (mais si, vous savez, le seul, le vrai l'unique, celui que l'on a jamais croisé). Après, bien sûr, niveau histoire et construction narrative, ça casse pas trois pattes à un canard. C'est très classique et assez bateau même. On joue sur le rapport homme mystérieux et femme forte avec quelques faiblesses. Je vous le conseille quand même parce qu'il est vraiment cute et que pour une fois que je trouve un manga qui dure pas trois cent chapitre, profitons-en !
Note : 30/40
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Par Myrae le 22 Décembre 2014 à 10:46
Voilà ! Je me lance, le DVD est dans le lecteur, Dune, me voilà !
Bon alors, si je suis bien, grâce à l'épice, tu voyages partout dans l'espace. Mais on ne trouve l'épice qu'à un seul endroit : Dune ou Arrakis.
Et là, y a 4 planètes qui complotent contre... euh... Quelque chose. Ces quatre planètes sont Dune, deux planètes vertes et une planète où vit l'empereur suprême. Donc on envoit... quelque chose pour visiter cette planète sur laquelle se trouve l'empereur accompagné d'une diseuse de vérité qui est télépathe et qui est en vrai une méchante mais ça on l'apprend qu'à la fin.On arrive sur la planète de l'empereur et là un petit train noir qui apparaît. La diseuse de vérité s'en va mais reste en lien télépathique avec... Le train ?! Ok ! Admettons ! Le train s'ouvre et là : BEURK !! Truc moche dans le train !!! Et qui ? Oh My God !! Il a une putain de vulve à la place de la bouche !
Bref ! On apprend que l'empereur suprème a mis en place un conflit entre les Atréïdes qui occupent Arrakis et les Harkonnens... Le truc immonde qui se trouve dans le train est en fait un membre de la Guilde qui chapeaute tout le truc. Il veut d'ailleurs la mort de Paul Atréïde le fils du Duc des Atréïdes.
Mais la diseuse de vérité qui a tout entendu décide de partir sur Caladan l'une des deux planètes vertes qui est en fait la planète d'origine des Atréïdes. Well... Putain de situation initiale !
Sur Caladan, on retrouve Paul, brave type intelligent qui a compris le piège de l'empereur. Puis, il se bat en se transformant en cube (!) puis fait un rêve. Pendant ce temps, sa mère se fait enguirlandée par la diseuse de vérité. On apprend que le papa de Paul va mourir et que l'être suprême serait potentiellement Paul... Mais rien de sur.
La diseuse de vérité se servant de la Voix (ne me demande pas ce que c'est) donne des ordres à Paul qui refuse. Et... C'est une preuve de force a priori. Il a ensuite le choix entre mettre la main dans une boite contenant la souffrance ou se faire tuer par la Diseuse de Vérité. Donc hand in the box ! Mais il réussit ! On décide donc de lui enseigner la Voix.
On part ensuite sur Giedi Prime la planète des Harkonnens. Et... EURK ! Des gens aux oreilles coupées et cousues ! Mais c'est hyper gore ! Et vraiment bien fait pour l'époque ! Bref! On comprends très vite les méchants et les gentils.
Les gentils Atréïdes voyagent donc en direction de Dune pour conquérir l'épice selon le plan de l'empereur pendant que le gros vers lance des rayons lasers avec sa bouche vulvée... Et moi je fais une pause parce que là, je craque !!
J"y retourne ! Donc! Les atréïdes arrivent sur la planète et Paul y retrouve son meilleurs ami partit en éclaireur. On comprend alors que les habitants de la planète sont ceux qui contrôlent vraiment la planète. Big Yeux bleus is watching you !! (C'est pas ma faute s'ils ont les yeux bleus !) Ah c'est des Fremens ! Bon et on comprend que Paul est l'élu l'être suprème, THE BIG HEROE OF THE WORLD ! Et qu'il y a un traître à ses coté :D
Voilà Paul qui sniffe de l'épice et paf ! hallucination ! Le Duc (le père de Paul) sauve une équipe de travailleur et ce fait bien voir des autres et notamment d'un espion Fremen ! Et là y a trop de complots en même temps ! Je vous jure c'est la vraie merde ! Je vous renvoies à la vidéo du Fossoyeur de Film, Dune est trop fort pour moi T.T
Finalement, j'ai vu jusqu'au bout le film. Mais la fin, mais, mais, mais... WHAT'S THE FUCKIDIFUCK ? On a le droit de faire une fin comme ça ?! Je veux dire, ok, il a gagné mais pourquoi il tue ce gonz ? Pourquoi on le voit partout ce rouquin à l'air sadique alors que finalement il affronte une fois le héros, et on en fait tout un plat. Mais c'est le Némésis de l'histoire ? Alors pourquoi il est pas plus important ? Ouais, je vais me mettre au bouquin je crois...
2 commentaires -
Par Myrae le 13 Décembre 2014 à 16:34
La Lamentable Tragédie de Titus Andronicus de W. Shakespeare
Théâtre
J'ai recommencé trois fois ce résumé... Nous sommes dans une intrigue Shakespirienne donc inutile de vous dire que c'est le bordel.
En gros, on commence avec Saturninus et Bassianus qui se dispute la place d'empereur laissé vacante par la mort de l'ancien. Tout cela manque de finir en steak haché lorsque Marcus annonce que le peuple à choisi son frère Titus Andronicus qui revient victorieux de guerre.
Titus entre en scène, il a perdu vingt et un de ces fils à la guerre (qui a duré dix ans quand même) et ramène quatre prisonniers : Aaron un esclave de la reine Tamora, cette dite reine, et ses trois fils : Alarbus, Chiron et Démétrius.
En rentrant, Titus sacrifie Alarbus à la gloire de l'empire et s'attire ainsi la haine éternelle de Tamora et sa famille. Il refuse ensuite sa couronne et l'offre à Saturninus mais lui refuse sa fille Lavinia qui préfère Bassianus.
Voilà, ça s'est la base, le reste vous le lirez parce que ça devient vite la merde.
Ce livre, cette pièce ça a été durant toute ma deuxième année de licence de théâtre ma croix, ma bataille, le fruit de mes entrailles ! J'ai lutté avec, j'ai vécu Titus, j'ai mangé Titus, j'ai rêvé de Titus, j'ai pensé à Titus en faisant l'amour (oui, oui), j'ai respiré Titus... Bref, je vivais Titus ! Je remercie d'ailleurs l'homme qui partagé ma vie à cette époque et qui fut d'une patience comme dire... Proche du divin.
Du coup, vous m'auriez demandé ce que j'en pensais à cette époque... Je vous aurez fait sauter la cervelle. Mais maintenant... Ben, je l'aime ce bouquin ! Cette pièce de théâtre est un petit bijou de violence, d'horreur, de sang... Bref, un bon film d'horreur version théâtre !
C'est vraiment super, je garde un très bon souvenir de ce moment de ma vie qui fût intense mais que je chouchoute dans mon esprit. Je vous cite d'ailleurs ma citation d'amour, de love. Titus s'adresse à sa fille et lui dit (après s'être fait trancher la main) :
"Porte ma main, ma douce, entre tes dents."
Vous visualisez la chose ?
Note : 39/40
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Par Myrae le 9 Décembre 2014 à 23:27
Bonjour à tous et à toutes !
Aujourd'hui, mes chers lecteurs, j'ai décidé de tenter une expérience inédite avec vous. Je vais tester un site de rencontre. Je me mets donc dans la peau d'une célibataire qui chercherais à rencontrer l'homme de sa vie, mais tous ceux de son entourage sont pris ou bien définitivement classé "friend-zone".
Le premier problème que je rencontre, c'est : "un site de rencontre, d'accord. Mais lequel ?" Cherchant à privilégier la gratuité, je finie par jeter mon dévolu sur d'abord un premier. On me demande mon sexe à l'inscription et aussitôt on me dit que je cherche un homme (puisque je suis une femme)... Ok... Et si je clique sur femme ? Je peux mais pas les deux à la fois ou les femmes ou les hommes : choisit. Fuck off ! Je cherche ailleurs.
Deuxième site, même problème... "aeuigrklzjgkajgdi !!!" Je vais bien finir par trouver un truc potable, non ? Troisième, quatrième, cinquième... OK ! ILS SONT TOUS COMME ÇA ! Je jette l'éponge ? Non, faisons fît de ces principes et de son orgueil. Je reprend mon premier site et j'entre sexe : femme, cherche : homme. Restons classique et surtout penchons nous sur le sexe opposé. C'est très attrayant.
Je dois payer ?! "iuqldhgalkhgfv !" le retour ! Bon je rechange de site !
Bon ! Me voici inscrite, je me lance dans ce qui fait la fierté de ce site son test de personnalité qui dure... 30 minutes ?! Well... Let's go !
Alors... Mon sexe, celui de la personne que je cherche (frustration d'une bi-sexuelle), mon niveau d'étude ?! Euh... Why not ? Mon origine : européenne... L'origine de la personne que je cherche à rencontrer ?! C'est pas un peu raciste sur les bord ça comme question ?
Bref, à quel pourcentage ces mots me décrivent-ils ? Élégante... Euh..? Mettons "assez". Séduisante : plutôt. Athlétique : vraiment. En sur-poids (c'est vraiment légale comme question ça ?) : pas vraiment. Banale : Pas vraiment. En bonne santé : Euh... Plutôt ? >.< Sexy : pas vraiment. Bon, j'ai fini par dire que j'étais satisfaite de mon allure générale et que l'apparence de mon partenaire comptait beaucoup, voilà ! Soyons con jusqu'au bout !
Encore des adjectifs avec cette échelle ! C'est long... Mais.. Mais ! Il se répète !! Enfin ! Je passe à l'autre, comment je le veux, je l'imagine. Let's go ! Ça y est ! Inscrite ! Bon faudrait payer pour communiquer en "illimité" mais essayons de comprendre ce que signifie "limité" ici...
Woh ! 20 personnes susceptibles de me supporter !! Voyons ça !
Bon, j'ai finalement laissé passé la nuit. A mon réveil, une personne m'avait posé 5 questions et envoyé un sourire. Bon on a une grosse dizaine d'année de différence, mais voyons voir quand même : Faisons fît des préjugés (je commence à faire fît de beaucoup de chose dans cette histoire moi). Bref, je réponds au question et je renvoie un sourire. Je patiente pour avoir une réponse en allant voir les profils des autres. J'envoie à mon tour des sourire (c'est meugnon cette histoire de sourire) et je laisse des "j'aime" pour les traits de caractère cool.
Ma question préférée c'est "La piste de danse est vide et votre musique préférée passe : Que faites vous ?" C'est la baaaaaaase je veux dire (pouet et cul de poule) !
Oh un petit 1m83 ! Attends je calcule ; 1m72 + 8 cm ?.. Ouais ! ça passe large ! Bon, après être tombée sur trois mecs de l'âge de mon papa, deux de mon petit frère (le plus petit hein ? ) et trois pervers m'envoyant comme message : "On baise ?", j'abandonne ! Le site de rencontre a eu ma peau !
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